Pour voir la résurgence primaire, 85 mètres plus bas, 700 mètres plus loin : la résurgence primaire
Un grand trou, où, lors de longues et fortes pluies, l'eau, après que tout le réseau souterrain se soit rempli, monte(*), remplissant la zone en un petit lac (au 1er plan du sable fin rejeté par la dernière crue).
Après avoir rempli ce lac de peut'être une 30aine de mè-tres -dans mon souvenir-, créé par un barrage (voir 4 photos plus bas), l'eau se déverse dans le lit supé-rieur et vient re-joindre la source permanente (ou presque). |
(*) nous avons bien failli y rester à cause de l'irreflexion de C.B. et de P.M.)
Soit ici, venant d'en haut à gauche. |
Revenons au trou de la résurgence la plus haute.
Il a, dans mon souvenir, peut'être 5-6m de profondeur. |
Au fond, une étroiture permet de s'enfoncer davantage. Un jour nous y sommes descendus, dans mon souvenir une quinzaine de mètres et avons constaté qu'on ne pouvait pas aller plus loin : la galerie, déjà étroite, devenait une diaclase (une large fente) et... l'eau était là!. (nous avons bien failli y rester!) |
À une 80aine de mètres (dans mon souvenir) du puits... un barrage! |
Un joli barrage qui, à ce que j'ai entendu, devait, par des canaux (on devine celui d'en face), de part et d'autre du lit de la Venoge, apporter l'eau aux champs, aux cultures. Période "encore indéterminée, romaine peut-être", dit le site de la Commune de L'Isle. À creuser... |
Pour voir la résurgence primaire, 85 mètres plus bas, 700 métres plus loin : la résurgence primaire
(retour à "Limnologie"...) ... ou (mieux) :
Comme on est dans
Bonne exploration... du passé!
-les niveaux des eaux et
-en partie dans la limnologie (science des eaux superficielles continentales ou intérieures...)... une suggestion :
prenez un moment pour vous faire une idée sur
- la variation du niveau des deux lacs rhodaniens par le lien : "les deux lacs rhodaniens"...)