Die zwei Rhodanier Seen                                                                             >>>"home"...)
                                                                                          
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"-La variation des niveaux des deux lacs rhodaniens,
    -tous les sites d'habitation des rives par les lacustres, et
      -les tsunamis préhistoriques du Léman" cliquer ici :
                                          21.07.20

Der erste, chronologisch und der Grösse nach,
der Léman, sicherlich... (89Km3)

Und der zweite (chronologisch und der Grösse nach : 9.8Km3) (Errechnung von Swisstopo)                          01.12.17
(obwohl geographisch der Erste)
qui a été baptisé :

1) on lit que le nom Léman viendrait du celte! "lem" signifiant grand et "an" eau.
2) peut'être n'y avait'il personne à l'endroit et à l'époque où a existé ce 2è lac (-14'000 à ?-850?), mais si...
3) si on suppose qu'il s'agissait de gens ayant une langue s'apparentant au celte...
4) comme ce 2è lac se trouve "plus haut", "au-dessus" du "Léman" (qui signifie grande eau),
5) le nom qui convient le mieux à ce 2è lac est Gioran ("gior" = au-dessus, plus haut et "an" eau)

Sub-rec haucht denn hier dem Gioran... ein neues Leben für Sie
  Gioran... der "See" (das Wasser) über dem "See",
                 der "See" (das Wasser) höher... wie der andere (der grosse See, das grosse Wasser : der Léman )

voir ci-dessous... (bien qu'il soit situé plus haut)
  les deux lacs <== cliquer pour agrandir : image fixe, de l'Office fédéral de topographie.
                           Pour ouvrir la carte, lire ci-dessous. Puis, un peu plus bas, cliquer sur le lien après les mots pour voir le Gioran

wenn man volgendes übernimmt    (neu : Punkt 1b), weiter unten)
1) von Fred Montandon, in "le Globe, Genève, mémoires, 1925, p35-94", die Wörter
     "...l'éboulement (Bergsturz)... était sur les Dents du Midi... remonte aux âges du cuivre et du bronze"
       (Kupferzeit: -2'000 à -1800 env.
        Bronzezeit: -1'800 à -750. Note G.P.).
1b) * si on estime que le côté ouest de la cluse (au-dessus du tunnel du chemin de fer) est de la roche en place et que l'éboulement (Bergsturz) vient de l'est, de la Dent de Morcles, cela ne change pas le fait qu'il y a eu un autre lac. Et, pour l'hypothèse ci-après, cela ne change pas grand'chose non plus.

2) de la carte de l'office fédéral de topographie, l'"occlusion (Okklusion)" de Saint-Maurice :
    la cluse de Saint-Maurice, vue actuelle (cliquer pour agrandir) la cluse de Saint-Maurice, vue actuelle


3) et qu'on se permette de relier les courbes de niveau actuelles d'une rive à l'autre, cela donne, aujourd'hui,
     (après des milliers d'années d'érosion du dessus de cette occlusion), à peu près...
    l'occlusion de Saint-Maurice, vraisemblablement provoquée par un éboulement (cliquer pour agrandir) l'occlusion de Saint-Maurice, vraisemblablement provoquée par un éboulement


man erhält denn... (zwangsläufig ) einen zweiten See, "Rhodanien"...
     ungefähr 60 Km lang und sehr annähernd 120 Km2
     (à noter : il est possible qu'il n'ait pas atteint cette longueur, si le barrage de St-Maurice a commencé à perdre tout ou partie avant que
         le glacier ne se soit retiré jusqu'à Leuk...)

     (deux géologues ont bien voulu me donner leurs avis *),
   le lac créé par l'occlusion de Saint-Maurice, à un niveau de 520m (cliquer pour agrandir) le deuxième lac
                                    (ici, altitude choisie 520m, à cause de la forme actuelle des deux "promontoires" (Felsvorsprung) de St-Maurice.)



                                    (* ce serait même 560m, l'exutoire ayant été au hameau de Châtel me dit un géologue)
   le lac créé par l'Occlusion de Saint-Maurice, à un niveau de 560m (cliquer pour agrandir un peu) le deuxième lac, calculé par l'Office fédéral de topographie.

Aber um den zweiten See zu sehen, so gross wie Sie wollen,
irgendwo spazieren zu gehen und sogar hindurch zu sehen (im Menu unten rechts Zahnrad anclicken um die Durchsichtigkeit zu ändern),
                                        pour voir le Gioran 465m, cliquer sur ce lien : map.geo.admin.ch 465m   1er lac rhodanien,                       03.06.19
                                    pour voir le Gioran 510m, cliquer sur ce lien : map.geo.admin.ch 510m   1er lac rhodanien,                       03.06.19
                                              und endlich "560m" auf diesen Link Klicken : map.geo.admin.ch 560m   1er lac rhodanien    9.8km3

   (pourquoi est-ce que je n'ai rien trouvé, aucune publication, allant dans ce sens?)



ce qui aura, sur le plan archéologie, un effet majeur :
  (mon hypothèse)

Cet éboulement de la "8è" Dent-du-Midi (j'ai entendu dire ces mots), ou
  venant des Dents-de-Morcles,
impliquera que :

il va falloir, maintenant, que le Rhône remplisse ce nouveau lac. Ce qui aura pour conséquence
  qu'il n'apporte plus cette eau au Léman... (évidence).

Léman qui maintenant baisse... pendant longtemps : des années, des dizaines d'années... Au point qu'il ne s'écoule plus, à Genève, et que son niveau (si p.ex. c'est en plus une période sèche) pourrait bien être descendu plus bas que son exutoire...
Ce qui permettrait aux "palafitteurs", populations habitant les stations lacustres,
de s'établir à des endroits et à des niveaux (altitudes) sans cela inexplicables...

Quand l'eau atteignit le niveau du haut du barrage (560m d'après un géologue), ce lac eut son exutoire (il en faut bien un) là où se trouve le hameau de Chatel. C'est ce que ce géologue m'a dit.
Ce lac sécoulait donc par un exutoire qui n'était pas là où il se trouve actuellement. Il s'est donc passé quelque chose...
Comme ce n'était qu'un énorme amas d'éboulis, il faut admettre que ce n'est pas aussi solide, résistant à l'eau, que de la roche en place.

Deuxième effet majeur :
ma deuxième hypothèse.
Dès lors pourquoi un petit morceau du parement (de la partie la plus haute), à l'aplomb du cours actuel du Rhône, ne s'en irait-il pas, un jour, subitement. Créant un raz-de-marée dévastateur, quoique limité à un volume donné, n'affectant donc guère le niveau du Léman. Mais rasant les habitations lacustres pour un certain temps. Les périodes d'habitation ont un (des) "trou(s)", ce qui s'expliquerai(en)t bien ainsi...

Les stations lacustres sont établies, au fil du temps (c'est avéré par la dendrochronologie), toujours plus bas...
Comme si le Léman descendait... Non? Comme si l'eau était retenue par ce premier lac...
Mais...

Troisième effet majeur :
ma troisième hypothèse.

Et un jour, le pourtour du Léman n'est plus habité. D'un coup! De nouveau.
Et ces gens, pour qui un ustensile en bronze (couteau, hache), une parure (bracelet, épingles, pendentifs), etc, valaient beaucoup, en laissent "derrière" eux des milliers, des MILLIERS! (Forel dixit!). Posés à même le sol. Comme on les retrouve aujourd'hui, quoique sous 4-6m d'eau! (on parlerait certainement, en valeur actuelle, de centaines de milliers ou de million de francs, d'euros...).

Comme cette fin de la période d'habitation du bronze est brusque et, cette fois, définitive, cela pourrait bien venir du fait que ce barrage "accidentel" du Rhône a cédé, subitement, cette fois en grande partie. Créant à nouveau un raz-de-marée dévastateur, mais qui, contrairement au(x) précédent(s), fera remonter le niveau du Léman. Rasant et submergeant les habitations lacustres pour... très longtemps, cette fois: c'est-à-dire définitivement. Vers la fin des années -850 (850bc).

(retour à "le Léman"...)